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11 décembre 2013 3 11 /12 /décembre /2013 10:48

Un exemple : Pourquoi ne pas tenter une version thon-tomates-moutarde ?

  • Commencez par étaler une pâte feuilletée dans un plat. Piquez-la au fond pour éviter qu'elle ne gonfle à la cuisson;
  • recouvrez le fond de moutarde;
  • emiettez ensuite du thon naturel sur le fond de la tarte;
  • une fois les tomates coupées en rondelles, repartissez-les à leur tour;
  • recouvrez d'un peu de crème et de fromage rapé;
  • il ne vous reste qu'à enfourner 30 à 40 minutes à 180° et à servir tiède.
  • Pour plus de raffinement, vous pouvez remplaçer la crème par une préparation pour quiche ( crème fraîche, lait, œufs ) avec aussi des produits du quotidien : poireaux, courgettes, jambon, poulet, olives; poisson, fromage de chèvre. Laissez parler votre fantaisie.
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27 novembre 2013 3 27 /11 /novembre /2013 11:37

Hommage. Le président Hollande a estimé que sa présence au côté de son homologue allemand était un véritable symbole.

<< Notre présence est l'affirmation d'une promesse. Promesse d'honorer partout et toujours les principes qui sont bafoués par les bourreaux d'hier mais aussi d'aujourd'hui. Promesse de défendre les droits de l'Homme chaque fois qu'ils sont violés, près de chez nous ou loin d'ici.

 Promesse de refuser l'inacceptable partout où il se produit >>, a déclaré François Hollande, soulignant que l'amitié franco-allemande est << un exemple pour le monde entier.


Comme Mitterrand et Kohl en 1984

Les présidends français et allemand François Hollande et Joachim Gauck sont arrivés peu après 14 h 30 au village martyr d'Oradour-sur-Glane (Haute-Vienne), avec un premier geste très symbolique, leurs mains étreignant celle d'un rescapé du massacre.

En très petit comité, accompagnés notamment du maire d'Oradour-sur-Glane Raymond Frugier, et Claude Milord, président de l'association des familles de victimes, ils ont entamé une visite du site, guidés par Robert Hébras, 88 ans, un des trois survivants du massacre encore en vie.

Leur premier arrêt a été pour l'église, où ont été massacrés les femmes et les enfants, avant que leurs corps ne soient brûlés. Les hommes ont été exécutés par groupe ailleurs dans le village.

Ce massacre perpétré le 10 juin 1944 par une unité de la division SS Das Reich a fait un total de 642 victimes.

Dans l'église, les deux présidents, venus avec leurs compagnes respectives, se sont pris la main discrètement, tout en écoutant les explications de Robert Hébras, qui y a perdu sa mère et ses sœurs.

Quelques instants plus tard, devant l'émotion de Robert Hébras, François Hollande lui a pris la main, et Joachin Gauck lui a entouré les épaules avec son bras, puis les trois hommes se sont tenu main dans la main et épaule contre épaule quelques instants à l'intérieur de l'édifice, Robert Hébras entre les deux chefs d'État.

Ce geste très symbolique, notamment entre MM. Hollande et Gauck, fait écho à la poignée de mains entre les présidents François Mitterrand et Helmut Kohl, en 1984, à Douaumont, près de Verdun, où se déroulèrent les combats les plus meurtriers de la Première Guerre mondiale.

 

   index-copie-1  L-humilite-et-la-gratitude-du-president-allemand-a-Oradour

 

    Hollande et      hollande 2                                                                   

 


 



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27 novembre 2013 3 27 /11 /novembre /2013 11:09

Paul  Vatine dont le port d'attache était Le Havre, il a effectué plus de trente traversées de l'Atlantique en course et huit en solitaire.

 

Le navigateur est né au Havre en 1957 et a disparu le 21 octobre 1999 au large des Açores alors qu'il participait à la Transat Le Havre Carthagène avec Jean Maurel.

 

S'il n'a découvert que tardivement la régate, au moment du tour de France à la voile de 1980, il est devenu un équipier reconnu et apprécié des plus grands skippers, comme Loïc Caradec et Eric Tabarly.

 

En 1986, Paul Vatine a gouverné son premier multicoque, puis le trimaran de la Région Haute-Normandie durant six ans.

Le navigateur havrais est arrivé deux fois premier et une fois second de la Transat en double Jacques Vabre.

 

Il s'est classé second de la Route du rhum en 1994. Dans le port du Havre, un bassin et son ancien club de voile portent aujourd'hui son nom.

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27 septembre 2013 5 27 /09 /septembre /2013 10:07

<< Ma grand'Mère paysanne >> de Jehan Le Povremoyne nous conte la vie rurale à travers le regard d'un enfant du pays de Caux.


Ma Grand'Mère, de Jehan Le Povremoyne, revient sur les rayonnages. Paru en 1954 pour la première fois, le livre le plus connu de l'écrivain cauchois était devenu quasiment introuvable. À l'occasion des 110 ans de la naissance de l'auteur, les éditions du Pucheux rééditent cet ouvrage.

Jehan Le Povremoyne, de son vrai nom Ernest Eugène Coquin, est né en 1903 au Havre. Il ne connaîtra jamais son père et perdra sa mère très tôt.


Le petit orphelin et recueilli par ses grands-parents, dans le village de Robertot, niché au creux de la vallée de la Durdent, en pays de Caux.

Son grand-père est berger et sa grand-mère tisserande.

Dans ce livre de contes, l'auteur, redevenu le petit garçon d'autrefois, rassemble ses souvenirs. Il nous raconte le quotidien rural de nos anciens.

Il évoque à travers ces pages d'une infinie tendresse son amour pour celle qu'il nomme << sa plus que mère >>, dans le giron de laquelle il apprend la dure réalité de la vie, mais aussi la poésie qui se niche dans les moindres choses.

Aux morsures de l'hiver répond l'odeur d'une brioche chaude; dans l'âtre de la cheminée ou au fond de l'armoire normande, de bonheurs infimes en leçons de sagesse, c'est à une parenthèse enchantée que le lecteur est convié.

Jehan Le Povremoyne est devenu journaliste, conteur et romancier. Il a été maire de Robertot pendant plus de 40 ans. À sa retraite, il a choisi d'y finir ses jours, dans la maison de sa grand-mère qu'il a rachetée.

 

livre

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9 septembre 2013 1 09 /09 /septembre /2013 10:05

Lors d'une réunion d'information j'ai appris que les falaises de craie, si spécifiques aux régions qui bordent la Manche, sont le résultat de l'érosion des sols formés il y a plusieurs millions d'années dans les fonds marins.

Ces sols sont composés de nombreuses couches de sédiments, témoignant de la vie marine de l'époque du Crétacé; la craie étant constituée d'une accumulation de squelettes de micro-organismes marins.

Certaines couches sont aussi composées de silex, roche qui forme les fameux galets de nos plages, après éboulement et érosion par la marée.

Il faut savoir qu'il est aujourd'hui interdit de ramasser les galets, car ils protègent le pied des falaises de l'assaut des vagues, en atténuant la  puissance.

Quand aux éboulements de falaises, ceux-ci sont principalement la cause du ruissellement et de l'infiltration de l'eau de pluie dans le calcaire, poreux et friable, ainsi que de l'alternance gel-dégel, qui fragilisent la roche.

Les interdictions de circuler au pied de ces pans de falaise ne sont donc pas à prendre à la légère !.

Et pas seulement en ces périodes de grande fréquentation touristique.

 

Crétacé : Du latin "Creta = Craie. C'est la dernière période de l'ère Secondaire allant de -137 à - 65 millions d'années, au cours de laquelle le climat planétaire particulièrement chaud permit le developpement massif de plancton (bancs de craie) et aussi celui des grands reptiles aquatiques et terrestres.

 

la plage de st valery en caux    GetAttachment

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30 août 2013 5 30 /08 /août /2013 11:25

Immobilier.  Dans quel cas est appliqué le droit d'usufruit ?

Quelles sont ses règles ?

Réponses dans la lettre de mon notaire.

Qu'est-ce que l'usufruit

L'article 578 du Code civil définit l'usufruit comme << le droit de jouir des choses dont un autre a la propriété, comme le propriétaire lui-même, mais a la charge d'en conserver la substance. >>

Il peut s'agir, par exemple : du droit d'occuper un logement, percevoir des loyers, les intérêts d'une somme d'argent ou encore les dividendes d'actions, ou enfin de profiter d'arbres fruitiers ou d'un terrain agricole.

Le droit de propriété est ainsi divisé en deux : la nue-propriété entre les mains du propriétaire, l'usufruit au bénéfice de l'usufruitier.   L'usufruitier, qui bénéficie donc de l'usage et de la jouissance d'un bien mais ne peut en disposer (il ne peut pas vendre) exerce ainsi un droit parallèle au droit du nu-propriétaire, sur un même bien.

L'usufruit est une technique souple et avantageuse, fréquemment utilisée pour assurer la transmission du patrimoine familial. Le plus souvent, on devient usufruitier suite à une succession ou à une donation. Mais sa mise en place peut-être complexe et nécessite les conseils de votre notaire.

Quelles sont les obligations de l'usufruitier ?

Pour garantir la jouissance du bien en << bon père de famille, l'usufruitier doit, de manière générale, se comporter comme le ferait un propriétaire normal, soigneux et diligent, en veillant surtout à entretenir les biens soumis à son usufruit.

Il doit supporter les charges fiscales, à commencer par les impôts locaux.

Pour un immeuble bâti et lorsque l'usufruitier l'occupe lui même, il s'agit de la taxe d'habitation et des taxes foncières, sauf  dans le cas où il a été convenu préalablement qu'elles resteraient à la charge du nu-propriétaire.

Par ailleurs, toutes les réparations d'entretien courant doivent être faites par l'usufruitier.

A ce titre, à la fin de l'usufruit, il ne peut réclamer aucune indemnité pour  amélioration du bien.

Seules les grosses << réparations >> qui ont, en pratique, un caractère exceptionnel, demeurent à la charge du nu-propriétaire. L'acte constitutif de l'usufruit, lorsque celui-ci provient d'un contrat, pourra néanmois modifier cette répartition normale, en mettant par exemple toutes les réparations à la charge de l'usufruitier. Cela peut être le cas par exemple, lorsque des parents procèdent à une donation-partage de biens immobiliers,en nue-propriété, au profit de leurs enfants.

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23 août 2013 5 23 /08 /août /2013 11:13

René Coty, né le vingt mars 1882 au Havre est mort le 22 novembre 1962 dans sa même ville. Député de la Seine-Inférieure, sénateur de la  Seine-Inférieure, il occupa les fonctions de ministre de la Reconstrution et de l'Urbanisme, de 1947 à 1948 dans le cabinet de Robert Schuman puis d'André Marie, il devient ensuite vice-président du Conseil de la République jusqu'en décembre 1953, date à laquelle il est élu à la présidence de la République, au 13e tour de srcutin.

Son mandat est marqué par l'arrivée à la présidence du Conseil des ministres de Pierre Mendès France, la fin de la guerre d'Indochine, le début de la guerre d'Algérie et le retour du général de Gaule au pouvoir, qui entraîna la fondation de la Ve République et son départ volontaire, en janvier 1959 de la présidence de la République. René Coty est le second et dernier président de la IVe République.


rené coty    Le président René Coty

                                     

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21 août 2013 3 21 /08 /août /2013 10:47

Le nom d'Auguste Perret, architecte belge, est indissociable de la ville du Havre qu'il a reconstruite après qu'elle a été rasée par les bombardements alliés en 1944.

Ce bâtisseur a joué un rôle déterminant en tant que premier architecte à saisir l'intérêt constructif du béton armé dans les années 1900. Il est toujours resté attaché à ce matériau à la fois économique et robuste, dans la lignée d'un grand-père carrier et d'un père tailleur de pierres

L'architecte du Havre serait sans doute fier de voir aujourd'hui son projet d'ensemble de centre-ville très dénigré à une époque, inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l'humanité par l'Unesco.

Auguste Perret a signé les plus importantes réalisations : en 1946, les Isai, immeubles sans affectation individuelle

(appartement témoin Perret aujourd'hui), puis l'ensemble de la Porte Océane (1950), l'église Saint-Joseph (1951) très rare édifice religieux à découvrir absolument et le vertigineux hôtel de ville (1952).

 

le havre 1      le havre 2

le havre3

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12 août 2013 1 12 /08 /août /2013 10:35

Situé au coeur de la cité, le palais de la Bénédictine est connu de tous, mais peu connaissent précisément l'histoire de cette bâtisse et de sa précieuse liqueur.

A travers les piéces de cette gigantesque construction, on découvre toute l'histoire d'une aventure industrielle, d'une liqueur et sa région . Dès 1862, Alexandre Le Grand, fondateur de la société Bénédictine, à eu à coeur d'ancrer son entreprise dans l'histoire. Il va vendre la liqueur à l'international, agrandir son empire et créer une légende. En effet, dans toute sa démesure, il va inscrire ses pas dans ceux des moines bénédictins qui avaient inventé la liqueur quelques siècles auparavant.

A la gloire, de son entreprise et de sa réussite, il va modeler le palais Bénédictine pour en faire à la fois un musée et une distillerie Indissociables l'une de l'autre, les deux parties du palais vont s'accoître simultanément jusqu'à lui donner son apparence actuelle.

Tout commence par la création de la liqueur au XVIe siècle par un moine bénédictin de l'abbaye de Fécamp, Dom Bernado Vincelli. C'est lui qui va élaborer la recette de la liqueur en 1510, composée de vingt-sept plantes et épices. Les moines vont alors produire la boisson jusqu'à la Révolution où ils seront chassés. L'un des derniers moines fuyant l'abbaye à confier à la famille Le Grand plusieurs ouvrages, dont le grimoire contenant la recette secrète.

La production va alors s'arrêter brusquement et la recette va disparaître.

Il faudra attendre 1863 pour qu'un certain Alexandre Le Grand, négociant en vin fécampois, retrouve par hasard la recette. de l'elixir de Frère Vincelli dans sa bibliothèque. Après des mois de déchiffrage des proportions et des mélanges, il réussit à reproduire la fameuse liqueur qu'il nomma Bénédictine. Il va décider de relancer la production. La grandeur et la mégalomanie de son fondateur feront le reste.

L'histoire de l'architecture du bâtiment figure au centre de cette visite, car elle est le pilier des ambitions d'Alexandre Le Grand. Dans chaque pièce du musée, il rappelle les origines de la liqueur, tisse des liens avec la papauté, la royauté, et s'entoure d'une collection impressionnante d'objets liturgiques.

La démesure du bâtiment n'a pourtant pas toujours existé. Au début, c'était une petite distillerie très simple qui a su s'agrandir avec le temps et les succès.

L'incendie criminel qui ravage le bâtiment en 1890 permettra une recontruction encore plus flamboyante, qui est celle visible aujourd'hui. La visite du palais de la Bénédictine, c'est aussi celle de la distillerie, de ses alambics et de ses caves.La liqueur est toujours élaborée ici, les odeurs des plantes peuvent donc même se faire sentir. La visite se termine par une dégustation de la liqueur Bénédictine, pour conclure avec délice ce voyage dans le temps. 

 

images                   benectitine 4

 

bénécditine 2    bénécditine 3     plublicité             

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12 juillet 2013 5 12 /07 /juillet /2013 10:47

Beaucoup d'entre nous on lu que nos gouvernements politiques de l'époque, et aussi certains chefs militaires, avaient sans scrupule à la suite du 19 Mars et avec un cynisme inqualifiable, délibérément laissé les harkis sur le sol  algérien, les abandonnant ainsi à ce triste sort qu'on leur a connu, à l'exception de ceux qui ont été rapatriés en France grâce à des officiers courageux.

Qu'en est-il exactement ? En consultant l'histoire de l'Algérie sur Internet, je lis que les choses ne sont pas expliquées de cette manière et on apprend, par exemple, que le 3 mai 1962 le générale Ailleret, puis le 8 mai 1962, M. Messmer, alors ministre des Armées, soit 11 jours avant le cessez-le-feu, avaient chacun, selon ses responsabilités, adressé à tous les chefs d'Unités une note pour qu'ils demandent aux harkis de choisir entre deux propositions : la première, être rapatriés en France en prenant un engagement dans l'Armée pour 6 mois ou accepter un contrat civil (la seule contrainte était d'être célibataire). La deuxième, être libéré sur le sol algérien avec l'attribution d'une prime.

Le résultat de ces deux propositions fut que 80% des harkis préférèrent percevoir cette prime et rester en Algérie plutôt que de venir en Métropole, sur un territoire qu'ils ne connaissaient pas.

On apprend aussi que les Services du Rapatriement débordés par les demandes, certains chefs d'Unités, pour des considérations d'encombrement de ce circuit officiel, passèrent outre en prenant sous leur responsabilité l'initiative de régler le problème eux mêmes.

M. Joxe, alors ministre de l'intérieur, ne tolérant pas cette filière parallèle,adressa un rappel à l'ordre aux  personnes concernées et prit des mesures strictes pour faire stopper cette manière illégale de procéder.

On entend aussi <<On les a désarmés !>>. Mais tout le monde a été désarmé, les militaires ont été consignés dans leur caserne et pourquoi aurait-il fallu laisser quiconque en possession de son arme après le cessez-le-feu et crapahuter dans la nature ?  C'était fini. Le drame qui s'est joué par la suite est qu'une fois l'indépendance acquise, le FLN ne tenant pas compte des Droits de l'Homme qu'il s'était engagé à respecter, condamnèrent les harkis comme traîtres à l'Algérie (des collabos, je cite M. Bouteflika) et les exécutèrent..

Apparemment, tous ne subirent pas ce châtiment suprême puisqu'on apprend qu'en 1965 le gouvernement français de l'époque en fit sortir de prison pour les rapatrier en France (combien étaient-ils ? Le nombre n'est pas précisé).

On n'oubliera pas non plus dans ce drame, le massacre des pieds-noirs. Il y a ceux qui disent que l'on a rien fait pour éviter ce drame et que nous aurions dû intervenir. Certes, on peut toujours dire ça, mais pouvait-on faire quelque chose et quoi, dès lors que l'Algérie était devenue une Nation indépendante et souveraine sur son territoire ? Il était donc bien difficile de s'interposer et nous n'avions alors aucun pouvoir d'ingérence dans ces réglements de comptes algéro-algériens.

Comment aurait-il fallu faire et de quel droit ? Devons-nous faire aujourd'hui, acte de repentance dans tout cela ? Pour ma part, je me garderais bien de donner un avis sur ces drames, je laisse à chaque lecteur le soin d'apprécier en son âme et conscience l'Histoire dans la manière dont elle est dite ou écrite, à lui d'en faire son jugement.

Mais pour en finir et pour faire diversion avec ces événements, cela ne vous rappelle-t-il pas l'après Seconde Guerre mondiale à la libération, sur notre territoire; les condamnations de ceux qui avaient aidé l'Allemagne nazie : les collabos, les Français engagés dans l'armée allemande la LVF, la division SS Charlemagne, la milice de Darman. Certains de ces individus ont été fusillés, d'autres emprisonnés ou tout simplement liquidés par les maquisarts au coin d'un bois, liquidations expresses. Etant enfant à cette époque je fus le témoin de l'une d'entre elles. Ma conclusion sera : le processus de décolonisation était inévitable et engagé, la France subissait les pressions internationales, tôt ou tard il nous fallait quitter l'Algérie

                                                                                                                                           Rolant Maltret

                                                                                                                                  78120 Rambouillet

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